mardi 4 janvier 2011

vive 2011 ? Faut-il croire en des jours meilleurs ?

Salut,

bonne année 2011

et pendant que certains dissertent sur la fin des 35 heures (manuel valls par exemple), d'autres (moi en l'ocurrence) vont au cinéma voir des films !

Donc 2 films à vous signaler pour commencer l'année 2011 dans la joie et la bonne humeur !

d'abord, "faites le mur", (« Exit through the gift shop » en anglais) qui devait d'après la rumeur s'intituler au départ « Comment vendre de la m… à des c… ».
Il s'agit d'un documentaire ou d'une fiction, on ne sait pas finalement dans lequel Banksy raconte l'ascension d'un dénommé Thierry Guetta, un Français installé à Los Angeles et fasciné par le « street art », qui parviendra à devenir un artiste reconnu malgré un talent très discutable…
Franchement, avec ce premier film, l'artiste se montre aussi virtuose et caustique à l'écran que sur les murs.
On se laisse avoir par ce film aussi déroutant que passionnant !

Pour les curieux, voilà ce que l'on peut lire de Banksy sur internet :

"Seule certitude, Banksy est né en 1974 aux alentours de Bristol dont les murs ont accueilli ses premières esquisses dans les années 90. Quelques gribouillis par-ci par-là et le graffeur en herbe trouve rapidement le style qui va le hisser au sommet : la peinture au pochoir.

L'œuvre "The Mild Mild West" de Banksy sur un mur à Bristol, en 2007 (William Avery/Wikimedia Commons).

Deux avantages majeurs à cette technique : faire des graffitis rapides (pour échapper à la police) et précis (des motifs complexes en un simple coup de peinture).

C'est en 1998, en peignant à Bristol un ours en peluche balançant un cocktail Molotov (« The Mild Mild West ») sur la police que l'artiste clandestin commence à faire parler de lui. Si le graffeur fait tant de bruit, c'est parce que sa subversion dépasse le cadre pictural des murs. Banksy multiplie les actes « terroristes » aussi inoffensifs que caustiques : diffusion de faux billets de livres sterling à l'effigie de Lady Di (au lieu d'Elizabeth II), de copies d'albums de Paris Hilton seins nus, accrochage clandestin d'un tableau orné d'un bandeau « Police line do not cross » à la Tate Britain, d'une fausse Joconde affublée d'un « smiley » au Louvre, d'une poupée gonflable habillée façon Guantanamo à Disneyland…

Autant dans ses installations éphémères que dans ses peintures, Banksy parle d'art, de social, de guerre et de politique. Il attaque, certes, mais toujours avec tact, intelligence et poésie. Et ça plaît.L'artiste a beau être clandestin, subversif et anonyme : il devient hype. Les médias s'emballent et Banksy entretient son succès en organisant des expositions réunissant chacune des milliers de visiteurs. Son expo en 2006, « Barely legal », accueille même l'actrice Angelina Jolie. Parce que dans les salles de vente, Banksy vaut de l'or ; du moins les peintures, dessins et installations qu'il crée dans son atelier. Son « Keep it spotless » élaboré en collaboration avec Damien Hirst s'est vendu pour 1,4 million d'euros. Une notoriété financière qui fait hurler certains graffeurs n'hésitant pas à taxer Banksy de « vendu »."



2ème film à voir, peut-être moins novateur, mais tout aussi passionnant, "nowhere boy", un magnifique film sur la jeunesse de John Lennon

Le jeune acteur qui joue le rôle de john lennon jeune, Aaron Johnson, est excellent, et il donne vie à un john lennon adolescent terriblement énervé par sa famille !
Il faut dire que l'on sourit souvent aux blagues de mauvais de john, on peut même pleurer, si on veut, quand sa mère meurt !

Bref, vive le ciné en ce début d'année !!!!

Enfin, on ne pourra pas terminer ce 1er post de l'année sans évoquer le retour de l'année 2010, à savoir, Jamiroquai, qui revient enfin avec un bon disque, le 1er depuis près de 15ans !

Vous pouvez revendre un de vos cadeaux pourris et ainsi récupérer 15 euros pour acheter ce magnifique album et vous en serez comblé !!

Allez, je vous laisse,

See U